REBORN (2023 - Nantes)
SERUM (2021 - Nantes)
BREATHE (2017 - Nijmegen)
EN DEROUTE (2016 - Nijmegen)
SI QUELQUE FOIS (2016 - Nijmegen)
YEEPP (2015 - Nijmegen)
STAAZ (2014 - Nijmegen)
KROOK (2013 - Nijmegen)
BLEDINA (2006 - Nantes)
A L'ABORDAGE (2005 - Nantes)
SILENCE RADIO (2004 - Nantes)
REBORN - 2023 - Nantes
This is the best days of our lives,Probably,
Even if I give you now some hives,
Probably,
No guarantee to make them better,
Finally,
No fantasy to light up later,
Finally,
Are we so stuck to change our mind,
Not really,
To learn new stuff and travel far,
Not really,
No guarantee to keep our good mates,
Eternally,
Feel so unclear to love the same way,
Eternally.
Reborn, is our new obsession,
We want it all but without concessions,
So we deserve this fresh start,
Reborn could be a regression,
A fake goal leads to wrong directions,
So do we deserve this fresh start?
We take care that time will not slow down
Our brittle pace,
To not attach more wrinkles to our soul
Than to our face,
We need to feel out own darkness,
In our bones,
But hit the bottom seems so useless,
For a new dawn.
Reborn, is our new obsession,
We want it all but without concessions,
So we deserve this fresh start,
Reborn could be a regression,
A fake goal leads to wrong directions,
So do we deserve this fresh start?
This is the best days of our lives,
Probably.
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SERUM - 2021 - Nantes
Descente, indécenteVitesse, maximum,
Démente, incessante,
Ivresse, Délirium,
De toi à moi,
Dans ton regard,
Je perçois l’eau de là,
Potable ou pas,
Brillant ou pâle,
J’en m’en carre,
Refuge idéal,
Chacun, son opium,
Déluge neuronal,
Aucun, décorum,
De toi à moi,
Dans ton regard,
Je perçois l’eau de là,
Potable ou pas,
Brillant ou pâle,
J’en m’en carre,
Remède intégral,
Sérum, sérum,
Remède à mes idées noires,
Sérum, sérum
De toi à moi,
Dans ton regard,
Je perçois l’eau de là,
Potable ou pas,
Brillant ou pâle,
J’en m’en carre
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BREATHE - 2017 - Nijmegen
Won’t you show me?Silently tell me
Your deep feelings
Hum, hum, uncompleted
Come even closer
The world spins faster
You need me now
Hum, hum, not someday.
Breathe
You’ve gone so far to realize
You’ve locked yourself
Breathe
There’s no reason to compromise
The trust of yourself
Soon this space will be
Too small for your dream
Will you leave it?
Hum, hum, consciously
Weird or stupid
In the gloom or the blazing
I still believe it
Hum, hum, naively
Breathe
You’ve gone so far to realize
You’ve locked yourself
Breathe
There’s no reason to compromise
The trust of yourself
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EN DEROUTE - 2016 - Nijmegen
Tu parles, tu parles, tu parles,De choses que je ne comprends plus...
Tu largues, tu largues, tu largues,
Des mots qui ne te ressemblent plus.
La distance s'installe entre nous,
Notre vis-à-vis nous dégoute,
Je pleure, tu cries, plus d'écoute,
Nos cœurs, sans vie, en déroute.
Tes larmes, tes larmes, tes larmes,
Ruissellent mais ne me touchent plus.
Trop tard, Trop tard, Trop tard,
Tous ces serments ne suffisent plus.
Désaccord qui ne trouve pas d'issue,
Mise à mort de nos rêves déchus,
Je pleure, tu cries, plus d'écoute,
Nos cœurs, sans vie, en déroute.
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SI QUELQUE FOIS - 2016 - Nijmegen
Si quelque fois, si quelque fois,On a la frousse au bout des doigts
Si quelque fois, l’estime de soi,
Nous transporte bien au-delà.
Hésitations, excès de confiance,
Indécisions, ou arrogance,
Cachés derrière nos apparences,
On dissimule nos différences.
Pas envie d’décrocher la lune,
Pour une blonde ou pour une brune,
Pas de remord, pas de rancune,
A rester seul dans ma tribune.
On m’dit t’acharne pas sur des trucs,
Qui n’feront jamais des émules,
Jusqu’à l’ultime coup sur la nuque,
Je finirai ma pellicule.
Je laisserai pleuvoir les critiques,
Même si j’en ai les yeux qui piquent,
S’il y a deux poids, et deux mesures,
Pour juger de mon cœur azur.
Oui mais parfois, c’est con la vie,
On se prend les pieds dans l’tapis,
Il suffit d’un rien pour qu’tout s’écroule,
Et être emporté par la houle.
Quand j’en aurai assez de ramer,
D’laisser une trace dans c’raz de marée,
Quand la énième tasse aura noyé,
La toute dernière de mes idées.
Y aura peut-être dans mes gammes,
L’envie à d’autres de r'prendre la flamme,
De ceux qui ne suivent que leur âme,
Quitte à rester un simple quidam.
Si quelque fois, si quelque fois,
On a la frousse au bout des doigts,
Si quelque fois, l’estime de soi,
Nous transporte bien au-delà.
Top
YEEPP - 2015 - Nijmegen
Si tu comptes sur une confidence,Des sentiments passés sous silence,
On ne m’arrache pas les vers du nez,
Sur un coin de table un peu bourré.
Ce qui me trotte à l’intérieur,
N’a pas besoin d’une âme sœur,
Tu perds ton temps à me questionner,
Sur des sujets de ma sphère privée.
Je balance pas, Je balance pas le fond d’ma pensée,
Je balance pas, ni à mes potes et pas plus avec toi.
Entre remords et amnésie,
Mes contradictions et mes non-dits,
Mauvais remède ou divin poison,
Je me charge de mon introspection.
Mes nuits concentrées aux idées noires,
Mes jours dilués au désespoir,
Mes états d’âmes ne regardent que moi,
Range tes conseils et oublie moi.
Je balance pas, Je balance pas le fond d’ma pensée,
Je balance pas, ni à mes potes et pas plus avec toi.
Confessions que l’on fait sans convictions,
Décisions que l’on prend sous conditions (bis)
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STAAZ - 2014 - Nijmegen
Comme un lion en cage, Je te dévisage,Sage comme une image,
Là sur ton rivage, S'installe le carnage,
Tu crois encore, Au mirage, d'un autre âge.
Là depuis mon île, Bien loin de la ville,
Jamais j n t'envie,
Rivé au cadran, Camé aux calmants,
T'as plus un instant, de présent.
Si tout doit être si speed,
Pour une vie aussi vide,
Je te laisse passer devant,
Ton bonheur sous acide,
Ta quête des antirides,
Tout ça me laisse indifférent,
City, city, comme si tout devait être ainsi.
Loin du continent, d'la foule et des gens,
Je prends tout mon temps,
A contre-courant des cols blancs délinquants,
Qui font la pluie et l'beau temps,
Inconsciemment.
De bus en métro, De news en météo,
T'es scotché jusqu'à l'os,
Tu peux contester, Oui un peu mais pas trop,
Prends garde les gaz lachrymo,
Tombent de haut.
Si tout doit être si speed,
Pour une vie aussi vide,
Je te laisse passer devant,
Ton bonheur sous acide,
Ta quête des antirides,
Tout ça me laisse indifférent,
City, city, comme si tout devait être ainsi.
Top
KROOK - 2013 - Nijmegen
In Memory of JC LE BRAS - R.I.P. - 23 august 2013 You take the choice to quitThis black pit
In a desperate countdown
I don’t need to know the scene.
Ending of all you fears
Definitely
A last breath to swallow
It’s so strange under my skin.
I don’t want to be too slick
But I’m sick
So many tears around
This church is too cold for me.
No more demons to kill
Now you are free
No words to spin out
You found your remedy.
What burned in your mind
You’re losing you mind
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BLEDINA - 2005 - Nantes
Ma belle se rebelle et me fait savoir,Qu’elle sent au fond d’elle que la vie à trois,
C’est plus qu’un désir, c’est une évidence,
Que pour s’arrondir, la peau de son ventre,
N’attend plus que moi.
Tous mes subterfuges ne suffisent pas,
A trouver refuge dans ces moments là,
Quand mes mises en scène se font ridicules,
Elle supplie le ciel et ma tête de mule,
Que je prenne le pas.
Bledina, je sais ce que t’attends de moi,
Bledina, tu sais, je calcule pas ces choses là.
Mais, j’ai le cœur Bledina…
Tous ces magazines couverts de poupons,
Le soir se radinent dans mes rêves profonds,
Elle le désire tant que j’en reste pantois,
Je joue le faux-semblant pour la énième fois.
Elle n’en revient pas.
Je me fais la belle la plupart du temps,
Quand dans ses prunelles fondent mes arguments,
Lui dire en deux mots ou en trois caresses,
Bien qu j’en fasse trop, c’est plus qu’une promesse,
C’est un pas de géant.
Bledina, je sais ce que t’attends de moi,
Bledina, tu sais, je calcule pas ces choses là.
Mais, j’ai le cœur Bledina…
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A L'ABORDAGE - 2005 - Nantes
Puisqu’il faut crever l’abcès,Comme on boit de l’absinthe,
Mis à part tout tes excès,
Mis à part ta complainte.
Quand tu gis dans l’inaction,
Par des pensées minables,
Si tu veux la part du lion,
Pose tes tripes sur la table !
Je ne vois que des reflets,
Tes ambitions sont mortes,
Tu voudrais faire de l’effet,
Sans que la sueur ne sorte.
Si tu cherches à résister,
A l’appel de tes rêves,
Ils reviendront te hanter,
Chaque jour qu’il te reste !
Je caresserai ta peau,
Sur du papier de verre,
Tu es bien loin d’en faire trop,
Ce n’est plus un mystère.
Qu’est-ce qui pourrait te donner,
Un semblant de courage,
N’entends-tu donc rien sonner,
On crie à l’abordage,
A l’abordage !
Puisqu’il faut crever l’abcès,
Comme on boit de l’absinthe,
Mis à part tout tes excès,
Mis à part ta complainte.
Qu’est-ce qui pourrait te donner,
Un semblant de courage,
N’entends-tu donc rien sonner,
On crie à l’abordage,
A l’abordage !
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SILENCE RADIO - 2004 - Nantes
Il a suffit d’un rien, d’un geste, d’un regard,D’une photo tombée là, dans tes mains par hasard,
Par hasard… peut-être pas…
Et tu t’imagines des choses qui ne sont pas,
Du moins… peut-être pas… peut-être pas
Tu restes sans réponses,
A ses appels, ses écrits,
Car tu sens, tu pressens ses mensonges,
D’ici à l’autre bout de la ligne.
Un silence radio, pour, une destruction massive,
De l’écran de fumée, derrière lequel elle fuit,
Un silence radio, pour, ressortir ses non-dits,
De l’écrin de fumier, où elle les fait grandir,
Juste… un silence radio…
Pour remplacer tous les mots….
Juste… un silence radio…
Pour remplacer tous les mots …
Tu restes sans réponses,
A ses caresses, ses étreintes,
Car tu sais, tu sais depuis des plombes,
Que ses attentions ne valent plus rien,
Un silence radio, pour, une destruction massive,
De l’écran de fumée, derrière lequel elle fuit,
Un silence radio, pour, ressortir ses non-dits,
De l’écrin de fumier, où elle les fait grandir,
Juste un silence radio…
Pour remplacer tous les mots….
Juste un silence radio…
Pour remplacer tous les mots….
Top
